Faire une thérapie en visio, ce n’est pas “moins bien”. Ce n’est pas une solution de repli ni un pis-aller. C’est une autre manière de se rencontrer — plus souple, parfois plus accessible, mais tout aussi exigeante dans le cadre qu’elle implique.
Pour que la séance soit pleinement bénéfique, voici quelques repères concrets.
À l’heure exacte de notre rendez-vous, je vous envoie un lien Google Meet par message ou par mail.
Il vous suffit de cliquer dessus pour vous connecter, depuis un ordinateur, une tablette ou un téléphone.
Même à travers un écran, la séance reste un espace thérapeutique à part entière, avec les mêmes exigences qu’en présentiel.
Cela implique un engagement mutuel à respecter le cadre, sous toutes ses formes :
Ce cadre n’est pas accessoire : il est ce qui permet la sécurité, la continuité, et la profondeur du travail.
Un bruit, une coupure, une émotion trop vive… les imprévus font partie du réel, en visio comme en présentiel.
Leur forme change, mais leur fonction clinique reste la même : ils peuvent être pensés, traversés, intégrés au travail.
Ils ne rompent pas le cadre — à condition qu’ils soient nommés, partagés, abordés.
C’est aussi cela, la thérapie : accueillir ce qui déborde, ce qui résiste, ce qui échappe au contrôle.
Prenez une minute, juste pour vous. Fermez un onglet. Respirez. Posez-vous.
Ce simple geste peut marquer une transition intérieure : passer du rythme du quotidien à un espace pour soi.
Le règlement de la séance se fait à la fin, par virement ou selon le mode convenu ensemble.
Même à distance, le paiement fait partie du cadre : il marque une fin, un engagement, et soutient la continuité du travail thérapeutique.